ruedes dockers le havre 8 rue louis blan rue lamennais le havre parc montcalm 449 bis boulevard jules durand 3 avenue henri woollett street view rue belloncle le havrez rue faraday le havre
You're Reading a Free Preview Pages 8 to 17 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 31 to 39 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 46 to 83 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 90 to 96 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 104 to 120 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Page 134 is not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 139 to 164 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 169 to 177 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 184 to 185 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 193 to 208 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Page 212 is not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 216 to 217 are not shown in this preview. 69 This transaction is recorded in the Durand-Ruel, New York, stock book for 1888–93 (no. 932, as Déjeuner de canotiers): “vendu par Durand-Ruel NY à Potter Palmer le 9 avril 1892 pour $ 1100, Déjeuner de canotiers,” as confirmed by Paul-Louis Durand-Ruel and Flavie Durand-Ruel, Durand-Ruel Archives, to the Art Institute of Chicago, Oct. 5, 2010, curatorial object file, Art Institute Le dramatique accident s'est produit vendredi 3 juin 2016, aux alentours de 20 heures, quand une voiture emprunte le rond-point du boulevard Jules Durand au Havre Seine-Maritime. C'est alors qu'un scooter serait arrivé d'un sens interdit, aurait coupé le rond-point et percuté la voiture. Par la violence de la collision, le pilote a été éjecté du scooter. Entre la vie et la mort Le jeune homme au guidon du deux-roues, bien que casqué, a subi une chute extrêmement violente. Les secours, dépêchés sur place, l'ont transféré dans un premier temps à l'hôpital Jacques Monod du Havre. Victime d'un traumatisme crânien, il est actuellement pris en charge à l'hôpital Charles Nicolle de Rouen Seine-Maritime. Son pronostic vital est engagé. A LIRE AUSSI. L'article Dramatique collision sur l'A28 L'article Collision après un malaise en Seine-Maritime
LeHavre (/lə ˈhɑːv(rə)/, French: [lə ɑvʁ ] ( listen ); Norman: Lé Hâvre) is an urban French commune and city in the Seine-Maritime department in the Normandy region of northwestern France. It is situated on the right bank of the estuary of the river Seine on the Channel southwest of the Pays de Caux. Le Havre is the most populous commune of Upper Normandy, although the total
SPA Etretat ABECAdresse Rue Colonel RaynalCode postal76790Ville/Département Étretat Seine-MaritimeContacts 02 35 27 92 76Type d'activité Refuge pour Animaux - Étretat Entreprise vérifiée Actualisé il y a plus de 6 mois Signaler un contenu inapproprié Ajout photo Écrivez un avis Signaler un contenu inapproprié Modifier les détails Écrivez un avis sur SPA Etretat ABEC 1 2 3 4 5 Sélectionnez le nombre d'étoiles pour votre note Veuillez sélectionner votre note en étoiles Votre avis doit être long de 15 caractères au minimum DécouvrezDafeur Thibault (112 bd Jules Durand, 76600 le Havre) avec toutes les photos du quartier, le plan d'accès, les avis et les infos pratiques : horaires, Itinéraires. Dafeur Thibault

. Los poetas levantan castillos en el aire, los locos los habitan, y alguien, en la vida real, cobra el alquiler. * Les poètes bâtissent des châteaux en Espagne, les fous les habitent, et quelqu’un, dans la vie réelle, encaisse les loyers. Jordi Sierra i Fabra Esp., 1947 * Foto El Castillo de Biar, en la comarca del Alto Vinalopó Alicante; es una fortaleza almohade del siglo XII, construida en piedra y tapial catalogado como Bien de Interés Cultural y declarado Monumento histórico-artístico perteneciente al Tesoro Artístico Nacional, fotografiado aquí cuando se viajaba sin límite y sin bozal. * Photo Le château de Biar dans la province d’Alicante, en Espagne, Communauté de Valence, est une forteresse médiévale almohade du XIIe siècle, construite en pierre et pisé, monument national, photographié dans le temps où l’on pouvait voyager librement et sans masque. Hasselblad Xpan 45mm ,Slide Fuji -RVP 50 ASA When these photos were taken in June 1988, the Brunswick car shops had been closed and the yard was merely being used for staging of cars until either scrapping or shipment to Cumberland. Here, two HC30s flank an HC44 covered hopper, all with wreck damage. The HC30s were PS 4427s ordered for Alcoa service between Hawkins Point and Alcoa's Loyer MD facilities. This image suggests they were part of a derailment someplace on the Old Main Line, then brought here for staging. No photographer listed, JL Sessa collection. Après quelques recherches sur internet, il s'agirait d'une loge dans le garage et paye son loyer en nous dératisant la maison ! After some research on the internet, it would be an lodges in the garage and pays rent by deratting the house ! Architecte Atelier Loyer canalsaintmartin canal monochrome paris 10emearrondissement quai valmy quaivalmy Sous l'Ancien Régime, les Parisiens ne bénéficient que d'un faible approvisionnement en eau potable et souvent de mauvaise qualité pollution de la Bièvre, de la Seine, malgré l'existence d'aqueducs et de puits. Napoléon Bonaparte, alors Premier consul, décide, en 1802, de remédier à cette situation afin d'éviter de nouvelles épidémies dues aux mauvaises conditions d'hygiène dysenterie, choléra. Gaspard de Chabrol, le préfet de la ville de Paris, propose alors que l'on reprenne un projet de canalisation de l'Ourcq prenant sa source à une centaine de kilomètres au nord-est de Paris datant déjà du xvie siècle. La création du canal Saint-Martin est décidée par la loi du 29 floréal an X, avec celle des canaux Saint-Denis et de l'Ourcq. La construction des canaux est retardée par la situation de la France entre 1809 et 1815. Puis Louis XVIII relance le projet en y confirmant l'ingénieur Pierre-Simon Girard. Il faut trouver des financements le préfet Chabrol propose de recourir à des capitaux privés. En 1818, la Compagnie des Canaux de Paris se crée5. Elle remporte l'adjudication ouverte par la Ville de Paris en novembre 1821 pour la construction du canal Saint-Martin en concession privée, pour un montant de 5,4 millions de francs de l'époque. Aussitôt, une nouvelle compagnie, la Compagnie du canal Saint-Martin, est créée pour mener à bien le chantier. Le préfet de la Seine pose la première pierre le 3 mai 1822. Le nouveau canal est inauguré par Charles X le 4 novembre 18256. En 1860, Georges Eugène Haussmann, préfet de la Seine, inclut le canal Saint-Martin à ses projets de modernisation et d’extension de la ville. Le canal à l’air libre étant une coupure qui gêne la circulation terrestre entre le centre de Paris et les nouveaux arrondissements du nord-est. Le canal est alors recouvert en partie par des voûtes notamment boulevard Richard-Lenoir. La couverture permet de faciliter le déplacement des troupes et les charges de cavalerie dans ces quartiers populaires dont le pouvoir se méfiait. Afin de permettre la poursuite de la navigation sous les voûtes, le niveau du canal est abaissé de 5,5 m. Dès 1862, des remorqueurs à vapeur tirent les premières péniches passant sous ces voûtes7. En 1908, le recouvrement est prolongé pour créer l'actuel boulevard Jules-Ferry2. Entre 1858 et 1865, une forte sécheresse manque de paralyser la navigation sur les canaux. Le décret impérial du 11 avril 1866 autorise la Ville de Paris à puiser dans la Marne le volume d’eau nécessaire pour maintenir le débit du canal de l'Ourcq, qui alimente le Canal Saint-Martin. Les usines élévatoires de Villers-lès-Rigault et de Trilbardou sont construites à cet effet. Cette dernière permet de relever l’eau de 12 m pour combler la différence de niveau entre la Marne et le canal7. En 1882, le bassin de la Villette était le 4e port français après Marseille, Le Havre et Bordeaux8. Le quai de Jemmapes vers 1905-1906, par Eugène Atget un port canal connaît son âge d'or du xixe au milieu du xxe siècle, et la circulation y est intense le canal Saint-Martin apporte non seulement de l'eau potable à la ville, mais aussi des marchandises, de l'approvisionnement céréales et des matériaux de construction jusque dans le cœur de Paris. Les deux principaux ports disponibles sur le tracé du canal intra-muros sont le port de l'Arsenal et le bassin de la Villette. Jusque dans les années 1920, le halage se fait par traction humaine plus économique que la traction animale avant de décliner lors de l'apparition des péniches de grand gabarit7. La concurrence des autres modes de transport, routier et ferroviaire, met à mal le transport fluvial dès les années 1960, causant une chute du trafic sur les canaux parisiens et, par conséquent, une disparition des usines, entrepôts et ateliers, ainsi que de la population ouvrière longeant le canal8. Au début des années 1970, le canal faillit disparaître lorsque le Conseil de Paris voulut adopter un projet d'autoroute urbaine à quatre voies qui devait emprunter son tracé, dans le cadre du plan autoroutier pour Paris. Il en est d'ailleurs fait mention dans le film L'An 01. Ce projet fut vite abandonné. Au tournant des années 2000, les quartiers situés au sud-ouest du canal, à proximité de la place de la République connaissent un processus de gentrification accéléré. Entre 1998 et 2012, le prix des loyers y a augmenté plus fortement que dans les arrondissements de l'Ouest parisien. La rue de Marseille voit s'installer des boutiques de luxe prestigieuses. Le processus s'est étendu à l'est du canal dans les années 2010 mais elles ont rapidement transformé leurs boutiques en version stock », ou fermé. Fontvieille est un quartier situé dans la partie ouest de la principauté de Monaco. Sa superficie est de 0,33 comporte une église, des usines, des bureaux et des habitations, ainsi qu'un centre de secours des sapeurs-pompiers un quartier quasi intégralement gagné sur la mer entre 1966 et 1973, sur projet de l'architecte Manfredi Nicoletti. Une petite portion du terre-plein de Fontvieille appartient à la commune de Cap-d'Ail République française.C’est également ici que se trouve le nouveau port de plaisance appelé port de y trouve des habitations à caractère luxueux, et un grand nombre d’immeubles domaniaux secteur public destinés à permettre aux Monégasques et Enfants du pays » citoyens français nés à Monaco mais ne pouvant pas accéder à la nationalité de trouver un logement dont le loyer ne soit pas quartier est également l’hôte du nouveau stade Louis-II qui abrite, outre le terrain de football sur lequel évolue l’AS Monaco, une piscine, un bassin de plongée, une salle polyvalente basketball, handball, volleyball, de nombreux bureaux et l’Université internationale de Monaco IUM anglophone. Fontvieille is a district located in the western part of the Principality of Monaco. Its area is has a church, factories, offices and homes, as well as a rescue center for Monegasque is a district almost entirely gained on the sea between 1966 and 1973, on project of the architect Manfredi Nicoletti. A small portion of the plain of Fontvieille belongs to the municipality of Cap-d'Ail French Republic.It is also here that is the new marina called port of are luxurious homes, and a large number of public buildings public sector intended to allow Monegasques and "Children of the country" French citizens born in Monaco but unable to obtain citizenship to find a housing whose rent is not district is also home to the new Louis II stadium which houses, in addition to the football field on which AS Monaco operates, a swimming pool, a diving pool, a multipurpose room basketball, handball, volleyball, numerous offices and the International University of Monaco IUM English-speaking. [in explore 9 février 2019]Cette photo a participé àQuel est ce lieu?Chemin de croix réalisé dans les années 1950 par les religieuses de La Loyère 71 In the early 1980s, the Chessie upgraded it's diesel servicing facilities at Riverside, located adjacent to Locust Point yard. One the home of two roundhouses during the B&O days, Riverside looked decidedly current 35 years ago. The accommodations for freight diesels didn't last long and by the late 80s, MARC gained control of the facilities for servicing their commuter fleet. It continues to do so today. Could those WM hoppers be in Alcoa service for the plant at Loyer, MD? The photographer this day was lucky enough to have car trouble along the southbound lanes of I-95. Taken September 1986, no photographer listed. JL Sessa collection. pour de quartiers vivants et abordables The Ideal City of the US was painted by American artist Matt Mullican, whose work has often dealt with the interaction between public sign systems and personal symbols. Matt Mullican, 1951 born in Santa Monica, Ca, United States He Lives and works in Berlin, GermanyIn Lyon the walls tell stories, mostly very tall tales. While painting on walls is as old as time, the city has taken the art of modern urban wall painting to new heights with nearly 60 outdoor murals. Some are breathtaking flights of fancy; others are marvelous examples of trompe l'oeil, depictions of everyday life so realistic you could almost walk into them. The murals produced by CitéCréation were designed not just as decoration but to help the people of Lyon rediscover their local identity, to trace the history of a particular quartier, or district, and to make art accessible to everyone. One of the best examples is the Musée Urbain Tony Garnier. The outdoor "museum" comprises 30 huge murals, painted on the buildings of an HLM Habitation à Loyer Modéré a low-rent housing project in the Etats-Unis district of apartment buildings were originally designed by French architect Tony Garnier between 1920 and 1933, part of his dream of a modern, industrial urban utopia. But by the 1980s the district was in trouble, and drugs and violence were rife. In a bid to rehabilitate the area, the residents contacted CitéCréation, and work on the murals began soon after. It was a major success. "It completely transformed the quartier," says Bensaïd. "You can stop anyone on the street there and the response will be unanimous. It has given something back to the residents—pride—a word that can be both terrible and very beautiful. When we give pride to a space, a space which didn't exist for the rest of the town before, for the media, we feel we have succeeded." The surrounding district was renamed Cité Tony dozen or so of the Musée Urbain murals—each some 2,500 square feet—are gigantic views of an industrial city rich with collective housing, schools, factories and clinics. A few of the murals show some of Garnier's other architectural contributions to Lyon, including the Abattoirs de la Mouche, a huge covered meat market with a ceiling of intricate metal arches. And eight of them show conceptions of the ideal city by eight artists, each from a different country India, Egypt, Ivory Coast, Russia, Mexico, China, Canada and the United States. Résidence des Alpes - Cité Pont-de-Sèvres - Boulogne Billancourt - FranceA suburb of Paris - France Je suis retourné dans cette cité car l’un des lieux que je voulais photographier place de la résidence des Alpes était en travaux les fois précédentes. Malheureusement les travaux ne sont toujours pas finis ! - J’ai quand même fais quelques photos. Du coup, certains clichés ressemblent peut-être à d’anciennes tofs. Source Par Jérôme Bernatas - 11 avril 2016 - Vues du ciel, les belles formes géométriques subliment le quartier du Pont-de-Sèvres. Arcs de cercle, croissants et hexagones résument le savoir-faire des deux concepteurs, Daniel Badani et Pierre Roux-Dorlut, de l’imposante cité livrée en 1976. Sur les 10 ha les architectes désignés en 1967 déploient des formes souples. Badani avait la volonté de ne pas faire des lignes droites, des cubes ou des morceaux de sucre », se souvient Pierre Vigneron, architecte de Renault, qui a rejoint le duo sur cette opération d’ des lenteurs administratives et les soubresauts économiques du premier choc pétrolier, le gigantesque ensemble pousse cahin-caha. Les premiers habitants s’y installent en 1976. L’OPHLM de Paris, devenu depuis Paris Habitat, porte l’opération sur les terrains rachetés à Renault, copieusement bombardés en 1942 et en 1943. Novateur, le programme comprend 1 900 logements dont 1 500 à loyers modérés et moyens pour favoriser la mixité à l’ère du tout voiture, les bâtiments surplombent un parking de 3 900 places ! Le château de Savigny-lès-Beaune est un château fort du XIVème siècle sur un domaine viticole de 20 hectares du vignoble de la côte de Beaune, à Savigny-lès-Beaune en Côte-d'Or en Bourgogne-Franche-Comté. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 18 décembre 1940, et héberge plusieurs musées et importantes collections de milliers d'automobiles, motos, avions, camions, et objets de viticulture ...Ce château est construit vers 1340 par Jean de Frolois, Maréchal du duché de Bourgogne, pour le duc Eudes IV de est détruit en 1478 sur ordre de Louis XI, en représailles de ce que son propriétaire avait pris le parti de la duchesse Marie de Bourgogne et de son mari le futur empereur Maximilien Ier empereur des Romains contre lui durant la guerre de succession de Bourgogne 1477–1482. Seul les corbeaux des mâchicoulis encore visibles sur deux tours sont conservés. Au début du xviie siècle le château est restauré par la famille de seigneurs de Bouhier, par Étienne Bouhier, puis par son fils Jean Bouhier de Savigny, puis son petit-fils Bénigne Bouhier, qui fait construire le Petit Château » après 1671. En 1689 le château devient propriété de la famille de Migieu, puis par alliance, au Général Comte de La Loyère et à ses héritiers. Au cours de l'année 1719, Le Président de Migeu dut abandonner son château pendant quelques mois où il servit de résidence imposée à la petite fille du duc Louis II de Bourbon-Condé, la duchesse du Maine Louise-Bénédicte de Bourbon, durant son exil en Bourgogne. Le spécialiste de la vigne Jules Guyot 1807-1872, auteur d'ouvrages viticoles de référence, y est mort lors d'un séjour. Depuis le 18 octobre 1940 le château et le petit château contigu, font l’objet d’une inscription aux monuments historiques1. À ce jourEn 1979 le château est acheté par Michel Pont, viticulteur exploitant d'un important domaine viticole de 20 hectares du vignoble de la côte de Beaune, qui y entreprend d'importants travaux de restauration. Ancien pilote de rallye automobile Abarth des années 1960, et important collectionneur passionné de mécanique, il y fonde plusieurs musées avec d'importantes collections mécaniques divers, visités par environ 30 000 visiteurs annuels Viticulture matériel agricole et 25 prototypes de tracteurs enjambeurs dans le Petit Château, et pressoirs à vin et outils à main dans le château ;Aéronautique 100 avions de chasse, avions militaires / avion à réaction et hélicoptères dans le parc, et 2000 maquettes dans le château ;Voitures Abarth 35 voitures de course et 600 maquettes au 1/43e dans le Petit Château ;Motos 300 modèles de 1903 à 1960 et 1 200 maquettes au 1/18e au 2e étage du château ;Pompiers une vingtaine de fourgon d'incendie, sous chapiteau dans le de très nombreux moteurs et objets mécaniques divers ... Après quelques recherches sur internet, il s'agirait d'une loge dans le garage et paye son loyer en nous dératisant la maison ! After some research on the internet, it would be an lodges in the garage and pays rent by deratting the house ! Calouste Gulbenkian Museum, Lisbon, Portugal Material Oil on woodCollection Calouste Gulbenkian Foundation, Founder's CollectionInv. BIOGRAPHY Eugène-Louis Boudin est un peintre français, né à Honfleur Calvados le 12 juillet 1824, mort à Deauville Calvados le 8 août 1898. Il fut l'un des premiers peintres français à saisir les paysages à l'extérieur d'un atelier. Grand peintre de marines, il est considéré comme l'un des précurseurs de l'impressionnisme. Eugène Boudin est né à Honfleur, en Normandie, fils de Léonard-Sébastien Boudin 1790-1863 et de son épouse Marie-Félicité Buffet 1793-1871 qui lui donnent en 1821 une sœur, prénommée Rose Désirée et en 1827 un frère prénommé Louis. Son père était marin sur les bateaux assurant la liaison Le Havre-Hambourg et sa mère était femme de chambre sur ces bateaux1. En 1835, sa famille déménage au Havre. À dix ans, il travaille comme mousse sur un bateau à vapeur assurant la liaison entre Le Havre et Honfleur. Par la suite, son père l'établit comme commis chez l'imprimeur Joseph Morlent, puis chez le papetier Alphonse Lemasle. Il commence à travailler l'année suivante comme assistant dans une boutique de papetier-encadreur1. LES DÉBUTS ARTISTIQUES En 1844, alors âgé de 20 ans, Eugène Boudin fonde avec un associé sa propre boutique de papetier-encadreur où il expose les œuvres des artistes de passage. Dans le cadre de son travail, il entre ainsi en contact avec des peintres des environs associés à l'école de Barbizon, notamment Constant Troyon, Eugène Isabey, ou des artistes comme Charles Baudelaire. Eugène se met alors à dessiner, puis à 22 ans – encouragé par Jean-François Millet et Thomas Couture – il abandonne le monde du commerce et se lance dans une carrière artistique. Il suit des cours à l'école municipale de dessin du Havre et ne se consacre alors plus qu'à la peinture1. En 1851, grâce au soutien du journaliste Alphonse Karr ainsi que de Constantin Troyon, de Thomas Couture et du conservateur du musée du Havre Adolphe-Hippolyte Couveley, il reçoit du conseil municipal du Havre une bourse d'étude de 1 200 francs par an, afin d'aller étudier la peinture à Paris pendant trois ans. La Société des Amis des Arts du Havre dit alors de lui "Il prit le crayon, il prit le pinceau et sans autres leçons qu'un sens merveilleux, une volonté opiniâtre, il est devenu peintre, mais peintre créateur, peintre avec son individualité, son originalité personnelle." C'est ainsi que, le 30 juin 1851, il rejoint la capitale et étudie la peinture au sein de l'atelier d'Eugène Isabey ainsi qu'au Louvre où il s'inscrit comme élève copiste. Eugène Boudin y réalise des copies de peintures de maîtres notamment hollandais et flamands pour quelques amateurs, ce qui lui permet d'approfondir son apprentissage. Il produit également de nombreuses natures mortes entre 1853 et 1865, genre fort apprécié des bourgeois de l'époque5. Dès 1855, il adopte un rythme de vie particulier passant ses hivers à Paris et ses étés en Normandie à Honfleur, tout en séjournant régulièrement en Bretagne à Douarnenez, Tréboul et ses environs. À Portrieux, il peint les bateaux terre-neuvas et Un an avant sa mort, il fait un long voyage entre Le Croisic et la pointe du Raz en passant par Pont-Aven » . Boudin fait sa première exposition en 1857 à Paris et la même année il parvient à vendre une vingtaine de ses toiles à l'occasion d'une vente aux enchères au Havre. Au cours de l'année 1859, le peintre – alors âgé de 35 ans – expose sa première toile au Salon à Paris Un pardon à Saint-Anne-la-Palud. Il se fait remarquer pour ses atmosphères et ses pastels originaux, et reçoit conseils et hommages du poète Charles Baudelaire rencontré la même année alors qu'il est en villégiature chez sa mère. Il se lie également d'amitié avec Gustave Courbet qui, ayant remarqué une peinture de Boudin chez un commerçant parisien, chercha à rencontrer son auteur. Il rencontre aussi le peintre hollandais Johan Barthold Jongkind et surtout Claude Monet qu'Eugène Boudin initiera à la peinture en plein-air, notamment lors des séjours à la ferme Saint-Siméon à Honfleur où se retrouvent régulièrement de nombreux peintres parisiens et normands. Monet dira de lui "Si je suis devenu peintre, c'est à Boudin que je le dois" car son maître et ami lui apprend "à voir et à comprendre". En 1862, alors qu'il est fatigué de réaliser des œuvres de commandes pour vivre difficilement de son art, il assiste à la naissance de la mode des bains de mer et à la création de Deauville, nouvellement desservie par le chemin de fer. Il a alors l'idée en voyant les estivants de la bourgeoisie et de la noblesse parisienne flâner sur les plages des stations balnéaires normandes de représenter ces mondanités et ces élégantes. Ces scènes de plage ne rencontrent pas le succès du public qui juge ses peintures voyeuristes et bâclées mais attirent l'attention des critiques et des artistes d’avant-garde. "On aime beaucoup mes petites dames sur la plage", écrit-il par exemple en février 1863 à son ami Ferdinand Martin, "d'aucuns prétendent qu'il y a là un filon d'or à exploiter". Mais dans ces peintures mondaines, la véritable quête du peintre reste la recherche de la lumière. Boudin aspire avant tout à "chercher son rayonnement, la fulguration, la condenser, la poursuivre dans sa chaleur". En témoigne la composition des tableaux où le ciel occupe toujours une très large bande supérieure. Le 14 janvier 1863, Eugène Boudin se marie avec Marie-Anne Guédès, née le 17 avril 1835 à Ruzaden, village de la commune d'Hanvec. En février de la même année, il s'installe à nouveau à Paris. Les conditions de vie du couple sont difficiles le montant des loyers et leurs faibles revenus les obligent à déménager fréquemment. Ils occupent des logements souvent situés sous les toits, qui font également office d'ateliers. Le peintre souffre de la mauvaise lumière, du froid de l'exiguïté des lieux. En septembre, Boudin revient en Normandie à Trouville, à proximité de Courbet qui est à Deauville et de Monet et Jongkind qui résident à Honfleur. Il fait alors de fréquents séjours en Bretagne, résidant un temps dans le manoir en grande partie déjà ruiné de Kerhoan, dans la commune du Faou. Il profite de ses séjours bretons pour peindre des tableaux de la région comme Le port de Camaret, L'Hôpital-Camfrout, Vue de Douarnenez, l'île Tristan, le matin... Il rédige aussi en 1867 à l'attention de son frère Louis, écrivain à ses heures perdues, Notes d'un voyage en Bretagne 1867, texte publié en 1924 par le Mercure de France14 où il décrit la vie quotidienne dans la région d'Hanvec, Le Faou, Rumengol à cette époque. Il s'inspire pour ces scènes rurales du travail de Jean-François Millet "Etudier cette belle figure d'homme appuyé sur son bâton, se souvenir de Millet, le berger, mais étudier le beau fond limpide et plein d'air et donner à cela un aspect saisissant." Observer les paysans bretons habitués "au rude labeur des champs, au pain sec et à l'eau" lui inspire un enthousiasme qui génère parallèlement chez lui "une certaine honte à peindre la paresse désœuvrée", ces "parasites dorés" des plages de Trouville-Deauville. Le 25 mars 1868, Boudin organise une vente publique de ses œuvres, ce qui lui rapporte quelques revenus et donne lieu à des critiques élogieuses venues du milieu des peintres mais aussi d'Émile Zola, qui voit en lui un peintre qui a le sens des horizons humides, de l'eau et des taches vibrantes que fait une toilette de femme sur un ciel gris. » L'année 1869 est consacrée en grande partie à la réalisation d'une commande du couple Rosenlecher, propriétaires du château de Bourdainville, dont Boudin doit réaliser l'intégralité du décor de la salle à manger. Fuyant la guerre franco-prussienne, Boudin séjourne à Bruxelles fin 1870 sur l'invitation de Gauchez, marchand Bruxellois. Il poursuit ensuite son travail de peintre de marine et séjourne plusieurs fois à Fervaques, dans l'arrière-pays bas-normand, chez son ami le Docteur Jaquette20. LE TOURNANT IMPRESSIONNISTE En 1874, il participe à la Première exposition des peintres impressionnistes , qui se tient à Paris dans les studios du photographe Félix Nadar. Par la suite, les expositions impressionnistes se tiendront dans les locaux du marchand d'art Paul Durand-Ruel. À partir de cette date, il passera pour un des précurseurs de ce mouvement, bien qu'il ne se considérât jamais lui-même comme un grand innovateur. Sa réputation grandissante lui permit d'effectuer de nombreux voyages dans les années 1870. Il visita notamment les Flandres, les Pays-Bas, le sud de la France ainsi que l'Italie, où il découvre différents courants artistiques du xixe siècle. Il continue d'exposer à Paris et reçoit la médaille de la troisième place du Salon de 1881 avec son œuvre La Meuse, à Rotterdam. En 1886, plusieurs de ses œuvres apparaissent à la grande exposition impressionniste organisée à New York par Durand-Ruel. Il obtient ensuite la médaille d'or lors de l'Exposition universelle de Paris de 1889 avec les deux toiles qu'il expose Un coucher de soleil et Marine - Les Lamaneurs. La même année, son épouse décède le 24 mars. Vieillissant et marqué par la perte de sa femme, Boudin séjourne dans le midi chaque hiver à partir de 1890. Le climat lui permet, peintre de plein air, de travailler tous les jours, et il y apprécie les "splendeurs de la lumière". Boudin séjourna a Saint Valery en 1891 et immortalisa la ville et la baie dans une soixantaine de tableaux. Encore, il s'installe en 1892 à Villefranche-sur-Mer, sur la côte d'Azur. La même année, Eugène Boudin est nommé chevalier de la Légion d'honneur. La décoration lui est remise par le peintre symboliste Pierre Puvis de Chavannes qui l'avait par ailleurs convaincu de rejoindre la société nationale des beaux-arts. Il entreprend des voyages réguliers à Venise jusqu'en 1895 en quête d'inspirations. En 1898 – alors qu'il est à Paris et se sent défaillir – il demande à mourir face à la mer » et se fait transporter à Deauville. Il décède le 8 août au matin dans la villa Breloque au 8, rue Olliffe, et est enterré le 12 août au cimetière Saint-Vincent – dans le quartier de Montmartre – à Paris. SON ŒUVRE Eugène Boudin est un peintre marin, expert en matière de rendu de tout ce qui est lié à la mer et à ses rivages. Il peint notamment de nombreux tableaux décrivant la vie des pêcheurs sur les ports et les marchés ; ainsi que celle des familles bourgeoises du xixe siècle sur les plages de Normandie. S'il ne rencontre un succès public relatif qu'à l'approche de la soixantaine, son travail de peintre d’avant-garde est reconnu par les critiques et peintres impressionnistes dès les années 1870, les collectionneurs Ivan Tourgueniev, Georges Feydeau, puis les Rothschild ou Cary Grant se mettant dès lors à acheter ses tableaux de paysage mais c'est surtout à partir de 1929, année qui voit Jeanne Lanvin acheter une de ses toiles, que le succès et la reconnaissance lui sont définitivement assurés. L'importance du ciel et des effets atmosphériques dans ses peintures lui vaut d'être surnommé le roi des ciels » par le peintre français Camille Corot et le peintre des beautés météorologiques » par Charles Baudelaire. Ce peintre des paysages attache en effet une grande importance au Soleil, aux nuages, au ciel et à leurs effets changeants sur le paysage en mouvement. Baudelaire écrit même La légende cachée avec la main, vous devineriez la saison, l'heure, le vent. »23 Dans une courte biographie qu'il rédige en 1887, Boudin évoque son ambition d'avoir eu une petite part d'influence dans le mouvement qui porte la peinture vers l'étude de la grande lumière, du plein air et de la sincérité dans la reproduction des effets du ciel... » Au cours de sa vie, il aura peint près de 4 500 tableaux et laissé autant de dessins, pastels et aquarelles. C'est le musée d'art moderne André-Malraux du Havre qui possède la plus grande collection de tableaux de Boudin, avec 224 peintures dont de nombreuses esquisses et études, toutes exposées. Une grande partie provient du legs Boudin », comportant 60 toiles et 180 panneaux, reliquat de la vente aux enchères, le 21 mars 1899, des œuvres retrouvées dans son atelier à sa mort. Le Musée Eugène-Boudin de Honfleur possède en outre 93 œuvres de l'artiste. Ce musée a été créé en 1868 par Louis-Alexandre Dubourg, peintre honfleurais et ami de Boudin. Ce dernier enrichit les collections du musée en léguant à sa ville natale 53 de ses œuvres ainsi que 17 œuvres de ses amis Ribot, Hamelin.... Sa correspondance nous offre l'image d'un homme passionné, acharné au travail jusqu'au l'étourdissement, mais humble et souvent insatisfait de sa production, cherchant sans cesse à s'améliorer et toujours prompt à vanter le talent d'autres peintres. SOURCE Calouste Gulbenkian Museum, Lisbon, Portugal Material Oil on woodCollection Calouste Gulbenkian Foundation, Founder's CollectionInv. BIOGRAPHY Eugène-Louis Boudin est un peintre français, né à Honfleur Calvados le 12 juillet 1824, mort à Deauville Calvados le 8 août 1898. Il fut l'un des premiers peintres français à saisir les paysages à l'extérieur d'un atelier. Grand peintre de marines, il est considéré comme l'un des précurseurs de l'impressionnisme. Eugène Boudin est né à Honfleur, en Normandie, fils de Léonard-Sébastien Boudin 1790-1863 et de son épouse Marie-Félicité Buffet 1793-1871 qui lui donnent en 1821 une sœur, prénommée Rose Désirée et en 1827 un frère prénommé Louis. Son père était marin sur les bateaux assurant la liaison Le Havre-Hambourg et sa mère était femme de chambre sur ces bateaux1. En 1835, sa famille déménage au Havre. À dix ans, il travaille comme mousse sur un bateau à vapeur assurant la liaison entre Le Havre et Honfleur. Par la suite, son père l'établit comme commis chez l'imprimeur Joseph Morlent, puis chez le papetier Alphonse Lemasle. Il commence à travailler l'année suivante comme assistant dans une boutique de papetier-encadreur1. LES DÉBUTS ARTISTIQUES En 1844, alors âgé de 20 ans, Eugène Boudin fonde avec un associé sa propre boutique de papetier-encadreur où il expose les œuvres des artistes de passage. Dans le cadre de son travail, il entre ainsi en contact avec des peintres des environs associés à l'école de Barbizon, notamment Constant Troyon, Eugène Isabey, ou des artistes comme Charles Baudelaire. Eugène se met alors à dessiner, puis à 22 ans – encouragé par Jean-François Millet et Thomas Couture – il abandonne le monde du commerce et se lance dans une carrière artistique. Il suit des cours à l'école municipale de dessin du Havre et ne se consacre alors plus qu'à la peinture1. En 1851, grâce au soutien du journaliste Alphonse Karr ainsi que de Constantin Troyon, de Thomas Couture et du conservateur du musée du Havre Adolphe-Hippolyte Couveley, il reçoit du conseil municipal du Havre une bourse d'étude de 1 200 francs par an, afin d'aller étudier la peinture à Paris pendant trois ans. La Société des Amis des Arts du Havre dit alors de lui "Il prit le crayon, il prit le pinceau et sans autres leçons qu'un sens merveilleux, une volonté opiniâtre, il est devenu peintre, mais peintre créateur, peintre avec son individualité, son originalité personnelle." C'est ainsi que, le 30 juin 1851, il rejoint la capitale et étudie la peinture au sein de l'atelier d'Eugène Isabey ainsi qu'au Louvre où il s'inscrit comme élève copiste. Eugène Boudin y réalise des copies de peintures de maîtres notamment hollandais et flamands pour quelques amateurs, ce qui lui permet d'approfondir son apprentissage. Il produit également de nombreuses natures mortes entre 1853 et 1865, genre fort apprécié des bourgeois de l'époque5. Dès 1855, il adopte un rythme de vie particulier passant ses hivers à Paris et ses étés en Normandie à Honfleur, tout en séjournant régulièrement en Bretagne à Douarnenez, Tréboul et ses environs. À Portrieux, il peint les bateaux terre-neuvas et Un an avant sa mort, il fait un long voyage entre Le Croisic et la pointe du Raz en passant par Pont-Aven » . Boudin fait sa première exposition en 1857 à Paris et la même année il parvient à vendre une vingtaine de ses toiles à l'occasion d'une vente aux enchères au Havre. Au cours de l'année 1859, le peintre – alors âgé de 35 ans – expose sa première toile au Salon à Paris Un pardon à Saint-Anne-la-Palud. Il se fait remarquer pour ses atmosphères et ses pastels originaux, et reçoit conseils et hommages du poète Charles Baudelaire rencontré la même année alors qu'il est en villégiature chez sa mère. Il se lie également d'amitié avec Gustave Courbet qui, ayant remarqué une peinture de Boudin chez un commerçant parisien, chercha à rencontrer son auteur. Il rencontre aussi le peintre hollandais Johan Barthold Jongkind et surtout Claude Monet qu'Eugène Boudin initiera à la peinture en plein-air, notamment lors des séjours à la ferme Saint-Siméon à Honfleur où se retrouvent régulièrement de nombreux peintres parisiens et normands. Monet dira de lui "Si je suis devenu peintre, c'est à Boudin que je le dois" car son maître et ami lui apprend "à voir et à comprendre". En 1862, alors qu'il est fatigué de réaliser des œuvres de commandes pour vivre difficilement de son art, il assiste à la naissance de la mode des bains de mer et à la création de Deauville, nouvellement desservie par le chemin de fer. Il a alors l'idée en voyant les estivants de la bourgeoisie et de la noblesse parisienne flâner sur les plages des stations balnéaires normandes de représenter ces mondanités et ces élégantes. Ces scènes de plage ne rencontrent pas le succès du public qui juge ses peintures voyeuristes et bâclées mais attirent l'attention des critiques et des artistes d’avant-garde. "On aime beaucoup mes petites dames sur la plage", écrit-il par exemple en février 1863 à son ami Ferdinand Martin, "d'aucuns prétendent qu'il y a là un filon d'or à exploiter". Mais dans ces peintures mondaines, la véritable quête du peintre reste la recherche de la lumière. Boudin aspire avant tout à "chercher son rayonnement, la fulguration, la condenser, la poursuivre dans sa chaleur". En témoigne la composition des tableaux où le ciel occupe toujours une très large bande supérieure. Le 14 janvier 1863, Eugène Boudin se marie avec Marie-Anne Guédès, née le 17 avril 1835 à Ruzaden, village de la commune d'Hanvec. En février de la même année, il s'installe à nouveau à Paris. Les conditions de vie du couple sont difficiles le montant des loyers et leurs faibles revenus les obligent à déménager fréquemment. Ils occupent des logements souvent situés sous les toits, qui font également office d'ateliers. Le peintre souffre de la mauvaise lumière, du froid de l'exiguïté des lieux. En septembre, Boudin revient en Normandie à Trouville, à proximité de Courbet qui est à Deauville et de Monet et Jongkind qui résident à Honfleur. Il fait alors de fréquents séjours en Bretagne, résidant un temps dans le manoir en grande partie déjà ruiné de Kerhoan, dans la commune du Faou. Il profite de ses séjours bretons pour peindre des tableaux de la région comme Le port de Camaret, L'Hôpital-Camfrout, Vue de Douarnenez, l'île Tristan, le matin... Il rédige aussi en 1867 à l'attention de son frère Louis, écrivain à ses heures perdues, Notes d'un voyage en Bretagne 1867, texte publié en 1924 par le Mercure de France14 où il décrit la vie quotidienne dans la région d'Hanvec, Le Faou, Rumengol à cette époque. Il s'inspire pour ces scènes rurales du travail de Jean-François Millet "Etudier cette belle figure d'homme appuyé sur son bâton, se souvenir de Millet, le berger, mais étudier le beau fond limpide et plein d'air et donner à cela un aspect saisissant." Observer les paysans bretons habitués "au rude labeur des champs, au pain sec et à l'eau" lui inspire un enthousiasme qui génère parallèlement chez lui "une certaine honte à peindre la paresse désœuvrée", ces "parasites dorés" des plages de Trouville-Deauville. Le 25 mars 1868, Boudin organise une vente publique de ses œuvres, ce qui lui rapporte quelques revenus et donne lieu à des critiques élogieuses venues du milieu des peintres mais aussi d'Émile Zola, qui voit en lui un peintre qui a le sens des horizons humides, de l'eau et des taches vibrantes que fait une toilette de femme sur un ciel gris. » L'année 1869 est consacrée en grande partie à la réalisation d'une commande du couple Rosenlecher, propriétaires du château de Bourdainville, dont Boudin doit réaliser l'intégralité du décor de la salle à manger. Fuyant la guerre franco-prussienne, Boudin séjourne à Bruxelles fin 1870 sur l'invitation de Gauchez, marchand Bruxellois. Il poursuit ensuite son travail de peintre de marine et séjourne plusieurs fois à Fervaques, dans l'arrière-pays bas-normand, chez son ami le Docteur Jaquette20. LE TOURNANT IMPRESSIONNISTE En 1874, il participe à la Première exposition des peintres impressionnistes , qui se tient à Paris dans les studios du photographe Félix Nadar. Par la suite, les expositions impressionnistes se tiendront dans les locaux du marchand d'art Paul Durand-Ruel. À partir de cette date, il passera pour un des précurseurs de ce mouvement, bien qu'il ne se considérât jamais lui-même comme un grand innovateur. Sa réputation grandissante lui permit d'effectuer de nombreux voyages dans les années 1870. Il visita notamment les Flandres, les Pays-Bas, le sud de la France ainsi que l'Italie, où il découvre différents courants artistiques du xixe siècle. Il continue d'exposer à Paris et reçoit la médaille de la troisième place du Salon de 1881 avec son œuvre La Meuse, à Rotterdam. En 1886, plusieurs de ses œuvres apparaissent à la grande exposition impressionniste organisée à New York par Durand-Ruel. Il obtient ensuite la médaille d'or lors de l'Exposition universelle de Paris de 1889 avec les deux toiles qu'il expose Un coucher de soleil et Marine - Les Lamaneurs. La même année, son épouse décède le 24 mars. Vieillissant et marqué par la perte de sa femme, Boudin séjourne dans le midi chaque hiver à partir de 1890. Le climat lui permet, peintre de plein air, de travailler tous les jours, et il y apprécie les "splendeurs de la lumière". Boudin séjourna a Saint Valery en 1891 et immortalisa la ville et la baie dans une soixantaine de tableaux. Encore, il s'installe en 1892 à Villefranche-sur-Mer, sur la côte d'Azur. La même année, Eugène Boudin est nommé chevalier de la Légion d'honneur. La décoration lui est remise par le peintre symboliste Pierre Puvis de Chavannes qui l'avait par ailleurs convaincu de rejoindre la société nationale des beaux-arts. Il entreprend des voyages réguliers à Venise jusqu'en 1895 en quête d'inspirations. En 1898 – alors qu'il est à Paris et se sent défaillir – il demande à mourir face à la mer » et se fait transporter à Deauville. Il décède le 8 août au matin dans la villa Breloque au 8, rue Olliffe, et est enterré le 12 août au cimetière Saint-Vincent – dans le quartier de Montmartre – à Paris. SON ŒUVRE Eugène Boudin est un peintre marin, expert en matière de rendu de tout ce qui est lié à la mer et à ses rivages. Il peint notamment de nombreux tableaux décrivant la vie des pêcheurs sur les ports et les marchés ; ainsi que celle des familles bourgeoises du xixe siècle sur les plages de Normandie. S'il ne rencontre un succès public relatif qu'à l'approche de la soixantaine, son travail de peintre d’avant-garde est reconnu par les critiques et peintres impressionnistes dès les années 1870, les collectionneurs Ivan Tourgueniev, Georges Feydeau, puis les Rothschild ou Cary Grant se mettant dès lors à acheter ses tableaux de paysage mais c'est surtout à partir de 1929, année qui voit Jeanne Lanvin acheter une de ses toiles, que le succès et la reconnaissance lui sont définitivement assurés. L'importance du ciel et des effets atmosphériques dans ses peintures lui vaut d'être surnommé le roi des ciels » par le peintre français Camille Corot et le peintre des beautés météorologiques » par Charles Baudelaire. Ce peintre des paysages attache en effet une grande importance au Soleil, aux nuages, au ciel et à leurs effets changeants sur le paysage en mouvement. Baudelaire écrit même La légende cachée avec la main, vous devineriez la saison, l'heure, le vent. »23 Dans une courte biographie qu'il rédige en 1887, Boudin évoque son ambition d'avoir eu une petite part d'influence dans le mouvement qui porte la peinture vers l'étude de la grande lumière, du plein air et de la sincérité dans la reproduction des effets du ciel... » Au cours de sa vie, il aura peint près de 4 500 tableaux et laissé autant de dessins, pastels et aquarelles. C'est le musée d'art moderne André-Malraux du Havre qui possède la plus grande collection de tableaux de Boudin, avec 224 peintures dont de nombreuses esquisses et études, toutes exposées. Une grande partie provient du legs Boudin », comportant 60 toiles et 180 panneaux, reliquat de la vente aux enchères, le 21 mars 1899, des œuvres retrouvées dans son atelier à sa mort. Le Musée Eugène-Boudin de Honfleur possède en outre 93 œuvres de l'artiste. Ce musée a été créé en 1868 par Louis-Alexandre Dubourg, peintre honfleurais et ami de Boudin. Ce dernier enrichit les collections du musée en léguant à sa ville natale 53 de ses œuvres ainsi que 17 œuvres de ses amis Ribot, Hamelin.... Sa correspondance nous offre l'image d'un homme passionné, acharné au travail jusqu'au l'étourdissement, mais humble et souvent insatisfait de sa production, cherchant sans cesse à s'améliorer et toujours prompt à vanter le talent d'autres peintres. SOURCE Copyright © thethi All rights reserved-No part of this picture may be reproduced or transmitted in any form or by any means on websites, blogs without prior permission. Use without permission is illegal- Documentation Internet . Le portail d’une cité ouvrière du XIXe siècleL’inscription “Porte des Flamands” qui trône sur l’encadrement supérieur nous donne immédiatement un indice sur son origine. Il s’agit du portail de la Cité des Flamands, ancienne cité ouvrière établie à cet endroit au milieu du XIXe siècle. On estime que la porte a été dressée là dès l’ouverture de la cité et date donc des années 1850. Les logements étaient alors composés, non pas de hauts-immeubles comme aujourd’hui, mais de petits édifices de cinq ou six au début des années 1960 que l’on envisage de rénover la cité ouvrière. Cette dernière est en effet composée d’habitations vétustes, devenues presque insalubres et dangereuses pour ses habitants. Ces derniers sont majoritairement des ouvriers et travailleurs des abattoirs de la Villette ou des cheminots travaillant sur le réseau de la Petite Ceinture et leurs conditions de vie sont particulièrement difficiles seulement 3 % ont une douche ou une baignoire, 5 % le chauffage et 20 % des WC. Le projet engagé dans les années 1970, un ensemble de hautes-tours que l’on appelle désormais Orgues de Flandre, doit permettre d’améliorer leur quotidien. Les anciennes habitations sont donc détruites et remplacées par des constructions modernes réalisées par l’architecte Martin Van Treeck. L’historien de l’art François Loyer décide de se battre pour conserver un petit quelque chose de l’ancienne cité et demande que cette petite porte en pierre de style classique soit conservée. Déplacée d’une quarantaine de mètres afin de s’accorder au mieux avec les constructions modernes qui l’entoure, la porte des Flamands se dresse désormais entre deux immenses immeubles… et deux pylônes de ventilation ! Internet documentation. The portal of a 19th century workers' cityThe inscription "Porte des Flamands" which stands on the upper frame immediately gives us a clue about its origin. It is the portal of the City of the Flemings, former working city established there in the middle of the nineteenth century. It is estimated that the door was erected there at the opening of the city and dates back to the 1850s. The dwellings were composed, not of high-buildings like today, but of small buildings of five or six is at the beginning of the years 1960 that one considers to renovate the working class city. The latter is indeed composed of dilapidated dwellings, which have become almost unhealthy and dangerous for its inhabitants. The latter are mostly workers and slaughterhouse workers in La Villette or railway workers working on the network of the Little Belt and their living conditions are particularly difficult only 3% have a shower or bath, 5% heating and 20% WC. The project started in the 1970s, a set of high-towers that are now called Organs of Flanders, must improve their lives. The old houses are therefore destroyed and replaced by modern buildings made by the architect Martin Van Treeck. The art historian François Loyer decides to fight to preserve a little something of the old city and asks that this small stone door of classic style be preserved. Moved forty meters to best match the modern buildings that surrounds it, the door of the Flamands now stands between two huge buildings ... and two ventilation pylons! Bien sûr c'est un extrait pour zoomer sur le Street Art, mais c'est assez cité Aubry. En lisant ce nom, vous avez peut-être imaginé des tours grisâtres, des esplanades bétonnées, un lieu mal fréquenté… En réalité, la cité Aubry est une petite rue pavée dans le 20e arrondissement de Paris, dans laquelle les habitants se sont réapproprié un terrain pour y installer un jardin partagé. Ces jardins collectifs deviennent de plus en plus populaires en Île-de-France ! La cité Aubry est une ancienne cité ouvrière. Au 19e siècle, Paris avait conservé une organisation moyenâgeuse rues étroites, insalubres, qualité de l’air médiocre. C’est à cette période que le préfet Haussmann transforme totalement la ville pour la moderniser, à travers la création de grands boulevards et avenues, de parcs et jardins parc des Buttes-Chaumont, parc Montsouris, etc. Évidemment, cette révolution urbaine n’est pas sans conséquence pour la population les loyers de la capitale explosent et les ouvriers ne parviennent plus à s’y loger. Une volonté délibérée d’Haussmann, qui expliquait que le coût élevé de la vie était bien pratique pour défendre Paris contre l’invasion des ouvriers de la province ». C’est à ce moment là que des cités ouvrières ont vu le jour. Dans le 20e, on trouvait ainsi la cité Aubry et la Villa Riberolle. En général, un riche industriel investissait dans un terrain et y installait non seulement sa production ateliers mais aussi des logements pour ses travailleurs. Aujourd’hui, on peut dire que les tendances se sont inversées ces petites ruelles pavées à l’atmosphère intimiste sont souvent plus prisées que les grands immeubles haussmanniens ! La cité Aubry a conservé ce mélange entre l’époque ouvrière et ses logements de bric et de broc… et des constructions récentes. Il y a un peu plus d’un an, les habitants ont récupéré le terrain d’une usine désaffectée et ont commencé à l’aménager pour en faire un jardin partagé. Le principe il comporte des lopins de terre communs, sur lesquels chacun peut planter ce qu’il veut et se servir… et quelques parcelles individuelles où, là aussi, chacun fait ce qui lui plaît. On trouve aussi bien des fleurs que des salades, des herbes aromatiques que des fraises, des plantes carnivores que des fèves. Ajoutez à tout ça du street art, des brouettes, des chaises… et vous obtenez une ambiance unique ! Les habitants y organisent des apéros, des barbeuks... J'y retournerai au printemps quand il sera fleuri, c'est au bout de ma rue. On dirait que j'ai besoin de campagne moi - ça tombe bien, c'est pour dans 15 jours - La Redpath Sugar Refinery, fondée à Montréal en1854 au bord du canal Lachine par John Redpath. Démolie et reconstruite au début du siècle dernier, elle fut définitivement abandonnée en 1981 après avoir déjà été le plus gros site industriel au Canada. Dans les années 90 elle devint un lieu d'expression pour les artistes de la rue des discussions dans le but de transformer les immeubles en logements à loyer modique, ils furent finalement achetés en 2002 par la "Gueymard Real Estate" qui les transforma en condominums de luxe avec marina sur le Canal Lachine. Redpath Sugar Refinery, founded in 1854 by John Redpath, along the Lachine Canal in Montreal. Demolished and rebuilded at the beginning of the last century. After being for a while the largest industrial plant in Canada, all activity had been stopped in 1981. The site became in the ninety's a nice choice for Montreal's street artists who wanted to express themselves. Some negotiations occured in order to convert the buildings in social housing. Finally the site was bought in 2002 by the "Gueymard Real Estate" who cleaned up the place and made a luxury condos conversion with marina on the Lachine Canal. Après quelques recherches sur internet, il s'agirait d'une loge dans le garage et paye son loyer en nous dératisant la maison ! Our roommateAfter some research on the internet, it would be an lodges in the garage and pays rent by deratting the house ! LEGAL DISCLAIMER I Do Not Condone Any Acts Of Vandalism Nor Do I Participate In Such Criminal Activity. I Am Simply An Observant and Take Photos Of This Graffiti You Have Come Across. ALSO I Will Not Condone Any Usage Of My Photos To Support Any Legal Matter Involving These Acts Of Vandalism Therefore YOU ARE NOT WELCOME TO VIEW OR TAKE THIS MATERIAL For ANY Purpose... LEGAL DISCLAIMER I Do Not Condone Any Acts Of Vandalism Nor Do I Participate In Such Criminal Activity. I Am Simply An Observant and Take Photos Of This Graffiti You Have Come Across. ALSO I Will Not Condone Any Usage Of My Photos To Support Any Legal Matter Involving These Acts Of Vandalism Therefore YOU ARE NOT WELCOME TO VIEW OR TAKE THIS MATERIAL For ANY Purpose... Architectes Roger Anger [1923-2008], Pierre Puccinelli [1929-1999] & Michel Loyer Agence Anger-Heymann-Puccinelli Ginza is a popular upscale shopping area of Tokyo, with numerous internationally renowned department stores, boutiques, restaurants and coffeehouses located in its vicinity. Ginza is recognized by many as one of the most luxurious shopping districts in the world, attracting visitors and regulars alike from across the globe. Dans les années 1980, Ginza était le quartier commerçant le plus cher au monde. On y trouve encore aujourd'hui le long de grandes avenues de nombreuses boutiques de mode notamment des marques de luxe de renommées internationales, mais aussi des showroom à la japonaise, c'est-à-dire des bâtiments d'exposition, assez découpés, où l'on peut découvrir différents produits, par exemple des voitures dans le showroom Nissan, de l'électronique grand public au cœur du Sony Building ou dans l'Apple Store. Le quartier est aussi connu pour l'abondance de ses enseignes lumineuses. Le quartier était traditionnellement le lieu du luxe au Japon avec par exemple les enseignes Prada, Louis Vuitton ou la première boutique asiatique de la marque Abercrombie & Fitch. Les Japonais sont très intéressés par le luxe et ce quartier le reflète bien. C'est un secteur qui a longtemps ignoré la crise au Japon. Toutefois, avec la baisse des loyers et la mondialisation, se sont installés récemment des marques bon marché comme Uniqlo, Gap, Zara ou Forever 21. Trying to look arty with an old man's beard - Architectes Roger Anger [1923-2008], Pierre Puccinelli [1929-1999] & Michel Loyer Agence Anger-Heymann-Puccinelli Architectes Roger Anger [1923-2008], Pierre Puccinelli [1929-1999] & Michel Loyer Agence Anger-Heymann-Puccinelli Architectes Roger Anger [1923-2008], Pierre Puccinelli [1929-1999] & Michel Loyer Agence Anger-Heymann-Puccinelli

Jouetsà découper. Animaux, maisons et monuments, moyens de locomotion, poupées à habiller Découvrez les jouets à découper de Gallica, classés de manière thématique. (nouvelle fenêtre)
Retrouvezles détails de l'arrivée du Tour de France à Cherbourg-en-Cotentin et les festivités prévues durant le week-end des 2 et 3 juillet. . 68 487 110 280 91 90 416 293

boulevard jules durand le havre street view